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#Actualités du secteur
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L'Indonésie teste l'hélicoptère drone espagnol Alpha A900 pour l'artillerie et la défense côtière
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Le 18 mars 2024, le gouvernement indonésien a procédé aux essais de l'hélicoptère espagnol Alpha A900 alimenté en carburant, à l'aéroport international Husein Sastranegara, dans l'ouest de Java. Ces essais visaient à évaluer les performances du drone en matière de détection des cibles et son rôle potentiel dans le soutien des opérations d'artillerie de campagne.
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Ces essais, auxquels ont participé le chef du centre d'artillerie de l'armée, ainsi que les directeurs de l'équipement, de la formation, du matériel et de l'équipement, font partie d'une évaluation en cours concernant l'utilisation potentielle des drones Alpha A900 par les gardes-côtes indonésiens pour surveiller les secteurs maritimes et identifier les anomalies dans les eaux territoriales indonésiennes. Cela correspond au rôle potentiel de l'UAV dans le système d'artillerie indonésien Medan, améliorant l'identification et la localisation des cibles pour les observateurs avancés.
L'utilisation de drones tels que l'Alpha A900 par les services maritimes indonésiens, notamment l'agence indonésienne de sécurité maritime (BAKAMLA), témoigne d'une évolution vers l'utilisation de systèmes sans pilote pour la surveillance maritime et les missions d'interdiction. Cette transition est considérée comme une alternative aux capacités plus traditionnelles, et souvent plus coûteuses, des hélicoptères embarqués. L'utilisation de drones devrait affecter l'allocation des ressources de sécurité maritime et l'engagement opérationnel des navires de la marine indonésienne, notamment en ce qui concerne les eaux territoriales et les zones économiques exclusives du pays.
L'intégration de l'Alpha A900 dans les ressources de l'armée indonésienne vise à évaluer son efficacité comparative et ses capacités techniques par rapport aux drones existants précédemment développés par la division R&D du centre d'artillerie de l'armée. Cette démarche s'inscrit dans le cadre d'un effort plus large visant à revoir et éventuellement à moderniser les systèmes d'artillerie actuels en fonction des exigences opérationnelles modernes.
L'A900, qui provient de la société espagnole Alpha Unmanned Systems, sera assemblé en Indonésie en partenariat avec les sociétés locales PT. Global Defense et PT. MS.Tech, fait l'objet d'un examen minutieux en raison de plusieurs spécifications techniques jugées importantes pour le rôle opérationnel qu'il est censé jouer. Il est équipé pour gérer des opérations dans des conditions maritimes difficiles, capable d'effectuer des atterrissages automatiques sur des navires en mouvement dans les états de mer 4 ou 5 de l'échelle de Beaufort et de gérer des atterrissages avec jusqu'à 10º de tangage et de roulis. Le drone est conçu avec des dispositifs d'autorotation et de flottaison pour les scénarios d'urgence.
L'A900 est doté d'une protection contre les interférences électromagnétiques, d'un générateur embarqué fournissant jusqu'à 150 W pour les charges utiles, d'un altimètre laser et de feux de navigation. En outre, il est doté d'une technologie permettant de fonctionner dans des environnements dépourvus de GPS, tandis que sa station de contrôle assure des communications cryptées.
En ce qui concerne ses capacités, l'A900 offre un décollage et un atterrissage verticaux (VTOL) autonomes à partir de navires en mouvement, plus de deux heures et demie de vol stationnaire autonome, et est alimenté par un carburant lourd pour une utilisation prolongée. Le drone conserve une empreinte logistique minimale et est équipé de quatre baies de charge utile, chacune d'une capacité de 4 kg. Pour des raisons de sécurité et de fiabilité opérationnelle, il est doté d'un système d'autorotation, d'une masse maximale au décollage (MTOW) inférieure à 25 kg, d'une vitesse de croisière comprise entre 60 et 100 km/h, de dispositifs de flottaison d'urgence, d'un moteur Boxer à faibles vibrations et de systèmes redondants pour les opérations critiques. Ces caractéristiques permettent à l'A900 de s'adapter à diverses missions, notamment le renseignement, la surveillance et la reconnaissance (ISR), le contrôle des frontières, la sécurité maritime, les opérations de recherche et de sauvetage, l'inspection des infrastructures, les relais de communication et l'observation avancée.