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Northrop Grumman livre le premier E-2D Advanced Hawkeye au Japon
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La société américaine d'aérospatiale et de défense Northrop Grumman a annoncé le 31 mai 2019 que le premier Grumman E-2D Advanced Hawkeye d'une commande de quatre exemplaires avait été livré à la Japanese Air Self-Defense Force (JASDF).
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Le premier avion a été reçu le 29 mars 2019, selon le constructeur. Le ministère japonais de la Défense a choisi le Northrop Grumman E-2D comme prochain système d'alerte avancée aéroporté en novembre 2014.
Les Advanced Hawkeyes aideront la Japan Air Self-Defense Force à surveiller et à sécuriser l'espace aérien du pays, mais aussi ses eaux territoriales, car ils sont capables de détecter à la fois les aéronefs et les navires. Le radar APY-9 installé dans le E-2D a une portée effective de plus de 500 km (270 milles marins). Le Japon exploitait auparavant le Northrop Grumman E-2C Hawkeye depuis 1983 et est le plus important exploitant de E-2 à l'extérieur des États-Unis.
Le 10 septembre, l'Agence américaine de coopération pour la défense et la sécurité (DSCA) a approuvé la vente de neuf nouveaux Northrop Grumman E-2D Advanced Hawkeyes au Japon. Les systèmes de radionavigation et de navigation, les pièces de rechange et l'appui logistique seraient également inclus dans le nouvel avion de surveillance aérienne et de commandement aéroporté, pour un montant total estimé à 3 milliards 135 millions de dollars. Cette vente n'a pas encore été officialisée.
Au cours de la dernière décennie, les incursions navales chinoises se sont multipliées dans les eaux territoriales japonaises, en particulier dans les îles Senkaku, un territoire japonais revendiqué par la Chine et Taiwan. Le 6 septembre 2018, le ministère japonais des Affaires étrangères a publié un rapport affirmant que jusqu'à cinq navires chinois entrent chaque mois dans les eaux japonaises en naviguant quotidiennement dans sa zone contiguë.
Les tensions territoriales ont également augmenté récemment entre Séoul et Tokyo. Le 20 décembre 2018, un avion de patrouille maritime Kawasaki P-1 de la Force japonaise d'autodéfense (JSDF) a signalé avoir été verrouillé par le radar de conduite de tir du destroyer coréen "Gwanggaeto The Great". Rien qu'en janvier 2019, les autorités sud-coréennes ont protesté à quatre reprises contre les avions de patrouille japonais volant près d'un de leurs navires. L'armée de Séoul l'a considéré comme une "provocation claire"